Alors que l’attention des Africains se concentre principalement sur les vaccins que Bill Gates chercherait à diffuser massivement sur le continent, des enquêtes et déclarations relayées sur les réseaux sociaux laissent entendre qu’il utiliserait d’autres moyens, beaucoup plus discrets, pour atteindre son objectif.
Thank you for reading this post, don't forget to subscribe!Selon une récente enquête menée par Amadou Ly, chercheur scientifique et activiste basé aux États-Unis, le milliardaire américain aurait investi environ 23 millions de dollars chez Monsanto, le géant américain spécialisée dans la production de semences génétiquement modifiées (GMO).
Des semences hybrides aux effets dévastateurs
Les résultats de cette enquête révèlent que la majorité de ces semences hybrides seraient conçues pour provoquer, à long terme, des cancers et l’infertilité. Selon M. Ly, l’objectif ultime serait même de provoquer la destruction progressive de l’ADN humain.
Thiram, Captan et Métalaxyl : des produits chimiques inquiétants
Parmi les substances mises en cause, on retrouve notamment le Thiram, un fongicide intégré dans certaines semences modifiées. Des études menées par l’Université d’Osmania en Inde et par l’Agence internationale de recherche sur le cancer (IARC) ont montré que, chez les souris mâles, ce produit réduisait drastiquement la qualité des spermatozoïdes et entraînait des anomalies chromosomiques. Résultat : l’ADN devient instable et se fragmente.
D’autres produits chimiques, comme le Captan et le Métalaxyl, présents dans ces semences, sont également accusés de provoquer des cancers de l’intestin et d’endommager les chromosomes lorsque les dosages ne sont pas respectés.
Une utilisation déjà massive en Afrique
Toujours selon Amadou Ly, ces semences seraient déjà utilisées depuis plusieurs années sur le continent africain et seraient responsables de milliers de cas de cancers et d’infertilité chez les Africains.
Plus inquiétant encore, il affirme que ce sont ces mêmes semences qui auraient inconsciemment été importées au Sénégal, dans le cadre de la politique de souveraineté agricole initiée par le gouvernement actuel. Non pas dans un but de nuire de la part des autorités, mais pour favoriser de bonnes cultures, malheureusement sans connaître le danger de ces semences hybrides.
Suite à la partie 2
Rédaction: Regional / Source: Video Amadou Ly
